Par Jim W. Dean, Rédacteur en chef, le 20 mai 2016
Eh
bien, cela ne s’invente pas. Est-ce que quelqu’un a décidé de faire coup double
sur l’Egypte en abattant un nouvel avion, cette fois au-dessus de la mer où les
preuves matérielles sont beaucoup plus difficiles à retrouver.
A
partir des analyses passées, nous avons appris que ces incidents ne se
produisent jamais au hasard du calendrier, mais sont liés à un évènement en
cours ou prochain.
La
confusion fait toujours partie du plan, et donc nous avons eu droit au faux
rapport que des débris de l’avion avaient été retrouvés au large d’une île Grecque
(Karpathos). Et comme lors de la perte du précédent avion Egyptien, nous avons entendu
les autorités confirmer et puis infirmer certains des premiers rapports. Quand
apprendront-ils que les enquêtes sur les accidents d’avion ne sont pas une
course, et qu’il faut attendre que les informations soient vérifiées avant de
les publier ?
Le
lieu où l’avion s’est écrasé, se situe dans des eaux d’une profondeur de près
de 3 000 mètres, et oui … c’est la partie la plus profonde de la Méditerranée.
Cela pourrait-il être une coïncidence ? Récupérer les boîtes noires
s’avérera extrêmement difficile.
Et Gordon Duff, rédacteur :
Nos sources nous révèlent
que la déclaration de Donald Trump, qui dit qu’il savait qui avait abattu
l’avion Egyptien, cache une histoire assez intéressante. Et si Donald Trump
était financièrement vulnérable, une vie entière d’affaires pas nettes, de
faillites et ce, confiant à d’autres la gestion de ses affaires pendant qu’il
juge des concours de beauté et participe à des émissions de TV ?
Et si Sheldon Adelson,
le caïd des jeux de Las Vegas qui finance les Likoudistes Israéliens, ceux que
nous croyons être responsables du 11 septembre, des tueries de Charlie Hebdo,
de la présidence illégale de Bush et de tant d’autres choses, était venu au
secours de Trump, qui avait convaincu beaucoup de gens qu’il voulait tenir tête
à Israël ?
Et
si Trump, étant ce qu’il est, un vantard dans l’âme, avait été mis au courant
de la façon dont Israël pourrait utiliser un de ses missiles Barak 8, récemment
testés en Méditerranée orientale sur l’INS Lahav, et avait décidé de réitérer le
coup du MH17 dont certains, ceux qui ont les bonnes sources, croient également
qu’il a été organisé par Israël, avec des tirs « air-air » déclenchés
par une paire de chasseurs de Kiev guidés vers le MH17 par un AWACS Israélien
provenant d’Azerbaïdjan ?
Trump
prévient qu’il y aura d’autres avions qui tomberont. Sa nouvelle source
d’information provient bien sûr des copains d’Adelson à Tel Aviv.
Pour
plus d’antécédents, revenons en Roumanie, à Constanta, où l’Amérique avait
secrètement relocalisé son système radar AEGIS basé à terre, celui qui se
trouvait auparavant dans le New Jersey pour protéger le Pentagone, le Capitole
et la Maison Blanche de petits avions de ligne déguisés en missiles de
croisière comme celui qui s’était écrasé dans le Pentagone le 11 septembre
2001.
La
deuxième partie de ce système consistait en un système JLENS intégré dans un
aérostat/ballon qui a été récemment saboté. Etant un de ceux qui sont habitués
des plateformes LTA (plus léger que l’air) par Adamus, Airship management et
ADS, nous suivons ces choses de très près.
Il
y a beaucoup en arrière-plan là, Obama mettant Israël sous pression en enlevant
les deux destroyers AEGIS qui constituaient la base du pseudo-système
« Iron Dome » (Dôme d’acier) de défense aérienne, qu’Israël a utilisé
pour défier l’Iran de réduire à néant l’Etat Juif depuis un certain moment.
Puis
nous arrivons au USS Donald Cook, le navire équipé du système AEGIS qui a été « crevé
au standard Keshe » en Mer Noire, ce qui est peut-être la raison pour laquelle
les Etats-Unis ont maintenant publiquement reconnu l’existence du système-radar
secret en Roumanie.
Vous
voyez, il existe des traités de restriction, qui empêchent les Etats-Unis de
maintenir suffisamment de navires de défense antiaérienne AEGIS en Mer Noire en
soutien des opérations de combat en Ukraine ou pour menacer les capacités des
missiles de la Russie.
AEGIS
n’est pas un système « autonome », mais utilise une capacité
« d’essaims » pour suivre des cibles. Les Etats-Unis ne peuvent
maintenir légalement* deux navires équipés du système AEGIS en Mer Noire, donc
ils ont officiellement annoncé le système installé en Roumanie.
*Les traités concernent la restriction de
navigation des navires de guerre appartenant à des pays non-riverains de la Mer
Noire. La Roumanie étant un riverain de la Mer Noire, la restriction ne
s’applique pas.
Remarquez
que la capacité AEGIS était pleinement opérationnelle, y compris le système
basé à terre à Constanta en Roumanie, lorsque le MH17 a été descendu. Le système
AEGIS a tout enregistré dans les moindres détails et pouvait facilement faire
la distinction entre des missiles et des avions. Franchement, le système AEGIS
aurait pu et dû empêcher entièrement l’incident, dès qu’il a constaté que le
MH17 était repéré par les radars, soit des avions en approche ou du système de
missile BUK imaginaire.
Peut-être
Trump a-t-il raison et que ses nouveaux partenaires Israéliens vont descendre
des avions de ligne ici et là ou qu’ils planifient un nouveau 11 septembre.
Avec le contrôle qu’ils exercent sur le Congrès et leur capacité à garder toutes
les enquêtes sous le manteau ainsi que leur capacité à diffuser un discours
fictif dans le public, peu importe son absurdité, nous avons quelques journées
intéressantes devant nous.
__________________________
La
marine Israélienne commence à installer des missiles Barak 8 sur les corvettes
Sa’ar 4.5
Yaakov Lappin, Tel Aviv – IHS Jane’s Defence Weekly –
Israël va
transformer ses corvettes lance-missiles Sa’ar 4.5 afin qu’elles puissent
utiliser le système de missiles antiaériens Barak 8 – Source : Wikipedia
Commons
–
La
marine Israélienne va bientôt entamer un programme de transformation de ses
corvettes lance-missiles Sa’ar 4.5 pour leur permettre d’être équipées du
système de missiles antiaériens Barak 8 fabriqués par Israël Aerospace
Industries (IAI), a annoncé une source de la marine Israélienne le 7 février.
Le
programme de transformation, destiné à être achevé en l’espace de deux à trois
ans, permettra d’équiper tous les navires de classe Sa’ar 4.5 de lance-missiles
Barak 8 et d’une nouvelle version du radar STAR Elta EL/M 2248 MF d’Israël
Aerospace Industries.
Les
transformations des navires Sa’ar 4.5 sont annoncées alors que la marine
prévoit d’achever les améliorations des corvettes de classe Sa’ar 5 plus
lourdes d’ici un an, leur permettant à toutes d’utiliser le missile Barak 8.
Actuellement, le système est déjà installé sur un vaisseau Sa’ar 5, l’INS Lahav, qui a effectué des essais de tir
opérationnels en Novembre.
_____________
Jim
et Gordon à suivre …
Le Caire avait d’abord confirmé le rapport Grec sur
les débris d’appareil avant que les Grecs n’annoncent ensuite,
que les débris repérés auparavant n’appartenaient finalement pas à un avion.
Donc il faut se demander comment Le Caire a pu confirmer quelque chose qui
était aussi distant.
Ce
matin nous semblons disposer d’une confirmation fiable dans une zone au nord
d’Alexandrie, des débris, des coussins de siège flottants, des parties de
corps, un rayon de recherche qui s’organise autour d’une nappe de carburant
repérée par satellite, et le début de la recherche des boîtes noires. Mais c’est là que le mystère s’épaissit.
On
voit jaillir du chapeau, le cheval de course présidentiel Donald Trump qui
prend la tête du peloton. Il prétend déjà connaître celui qui a abattu l’avion
(mais ne nous le dira pas), prétendant qu’il s’agissait de terroristes, puis il
en a plus à révéler. Il nous annonce qu’il y aura d’autres avions abattus, et
va encore plus loin. Il nous dit que cela va déclencher une récession mondiale
parce que tout le monde aura peur de prendre l’avion, une récession comme nous
n’en avons encore jamais vue.
Donc, qu’avons-nous là ? Avons-nous seulement Trump,
fidèle à son personnage indigne d’un candidat à la présidentielle, qui est à
l’affût de tout évènement qui lui permet de bénéficier d’une publicité gratuite ?
Mais pourquoi le ferait-il maintenant alors qu’il est pratiquement assuré de sa
nomination, en étant si violent sur cette histoire d’avion Egyptien ? Quelles autres motivations pourraient entrer en jeu ?
Sur
la liste des paramètres à vérifier, toujours en tête de liste, figure l’argent
… y en a-t-il un qui soit arrivé tout récemment, ou qui soit recherché par quelqu’un
pour prouver sa valeur d’avenir ? Et, tout de suite nous tombons sur Shelly Adelson qui a promis 100 millions de $,
et que beaucoup considèrent comme un truand international capable de tout.
Adelson
est également un fervent supporter de Netanyahou et du parti Likoud en Israël
et a tous les fournisseurs de la sécurité et du renseignement gouvernementaux
ou non-gouvernementaux qui font la queue pour pouvoir figurer sur sa liste du
personnel en se montrant « utiles ». Israël a été lentement pris en étau
par des factions de l’UE et de la communauté internationale pour ses
déclarations de plus en plus éloquentes sur l’impasse à propos des territoires
occupés et des colonies juives, et qui devenaient un tantinet trop arrogantes
comme certains pourraient le formuler.
Cela nous amène à un très étrange reportage de
Reuters du 18 mai sur un nouveau système offshore de
missiles d’interception Iron Dome ayant terminé ses essais avec succès deux
semaines auparavant, et conçu pour protéger les plateformes de gaz offshore au
large de la côte sud d’Israël et de Gaza, essais au cours desquels plusieurs
« missiles balistiques » de courte portée auraient été tirés à partir
d’un « navire en mouvement ».
Mais nous avons remarqué quelques bizarreries à ce
propos. Ce type de « système », c’est le terme
utilisé, aurait été mieux placé sur la plateforme externe elle-même au lieu
d’un navire pour se défendre contre les fusées artisanales tirées à partir de
Gaza. Et prétendre que les gazoducs sous-marins pourraient être vulnérables à
quelque chose qui a une force explosive d’un mortier est évidemment ridicule.
Est-ce
que les Sionistes pensent réellement que nous allons gober le fait qu’ils
construisent et font de la rétro-ingénierie de navires équipés d’une imitation
de système AEGIS pour protéger des gazoducs sous-marins de roquettes tirées à
partir de Gaza qui sont souvent incapables de toucher une ville entière ?
Cher
Israël, si quelqu’un voulait couper vos gazoducs sous-marins, il utiliserait
des torpilles drones sous-marines. Et s’il n’en dispose pas, il lui suffirait
de sous-traiter le travail à quelqu’un qui en a, peut-être même à vous, étant
donné votre excellente expérience
reconnue en la matière.
Donc
ce canular a été publié pour faire diversion par rapport au véritable objectif
d’une plateforme de systèmes d’armements extrêmement coûteuse.
Et
deuxièmement, le véritable « Iron Dome » dont ils veulent nous faire
croire qu’ils parlent est celui qui requiert que deux destroyers Aegis soient
capables de trianguler la position cible de missiles en approche. Un seul
navire ne peut le faire, alors qu’ils prétendent que c’est tout ce qu’ils ont utilisé.
Donc quelqu’un cherche à nous faire marcher à ce sujet.
La preuve se trouve plus au nord en Mer Noire, où le même problème se posait à deux destroyers AEGIS avec
leurs puissants radars à longue portée qui étaient nécessaires pour former un
véritable bouclier radar à longue portée.
En
raison des restrictions du nombre de navires que les Etats-Unis étaient
autorisés à déployer sur place, un seul navire AEGIS était présent
habituellement, ce qui ne servait à rien étant donné que le rôle défensif qui
leur est assigné en exigeait deux. Nous pensons
qu’il
s’agissait simplement de montrer le pavillon.
Mais
si un autre système avait été installé près de trois ans auparavant en
Roumanie, cela ferait la paire, en ne nécessitant qu’un seul navire pour
fournir la capacité de défense que devaient procurer les milliards dépensés
pour construire les 26 destroyers américains Aegis. Cela ferait de la récente
déclaration, de l’entrée en service opérationnel de la base roumaine une simple
formalité.
Etait-elle
vraiment opérationnelle il y a plusieurs années ? Revenons à l’incident de
l’USS Donald Cook en Mer Noire, dont l’électronique avait été mise hors service
par la nacelle de contremesures électroniques d’un seul bombardier Sukhoï Russe
non-armé lors de survols successifs. Cela aurait éliminé un des deux radars
nécessaires, rendant le système basé à terre inefficace.
La
Russie a montré aux Etats-Unis qu’elle était au courant du rôle joué par le
système opérationnel à terre, et qu’elle pouvait mettre hors service la
composante navale si nécessaire. La question qui se posait était de savoir si
un système de brouillage Russe pouvait se rapprocher suffisamment pour être
efficace avant d’être abattu ? On n’en a pas fait grand cas du côté Américain
car les Russes auraient pu révéler publiquement l’existence du système
opérationnel en Roumanie.
En conclusion nous nous trouvons avec un avion de
ligne Egyptien qui s’est écrasé dans les parages d’une
zone où un nouveau système opérationnel Israélien « Iron Dome » est
installé aux mains d’équipages inexpérimentés. Nous savons qu’il ne fonctionne
que s’il y a deux stations radar, alors que les tests prétendent qu’il n’y en
avait qu’une.
Mais
il n’en faut deux que s’il s’agit de descendre des missiles à haute vitesse en
approche. Un avion de ligne suivant un cap prédéterminé serait une cible
facile. Et comme dans le cas du MH17 où on a accusé un missile BUK, personne ne
l’a vu alors qu’il ressemble à un météore volant en sens inverse dans un bruit
d’enfer.
Nous
n’avons pas entendu la moindre information sur le fait que les Israéliens
avaient développé des radars équivalents à l’Aegis, mais nous aurions bien
aimé, parce que durant la dernière chasse aux canards à Gaza, Obama a fait
retirer les deux navires américains de là, ce qui est la raison pour laquelle
le taux de réussite des tirs de 90% avancé par Israël était du flan. Le
logiciel informatique est la clé de la réussite de ce système.
Ce
qu’ils ont qualifié de tirs ayant fait mouche n’étaient rien que les
détonations des missiles qui avaient raté leur cible, une mesure de sécurité,
mais dont l’explosion ressemblait à un tir au but pour ceux qui étaient au sol.
Les tests de missiles ont toujours été annoncés comme étant réussis, car
l’inverse était de toute manière considéré comme une atteinte à la sécurité
nationale. Il y a un autre pays que je connais qui a prétendu avoir réussi des
essais de missiles défensifs par le passé pour continuer à obtenir des crédits.
Les
missiles Américains Patriot était beaucoup plus inefficaces qu’annoncé lors des
premières années comme lors de la Première Guerre du Golfe, ce qui explique les
nouvelles versions successives, toutes génératrices de coûts et de « plus
de profits » pour le constructeur.
Le
radar AEGIS est un système très onéreux. Avons-nous donné notre technologie aux
Israéliens, ou l’ont-ils obtenue comme tant d’autres technologies militaires,
par l’espionnage ? Cela remonte aux années 1980, lorsque 50% des
ressources du contre-espionnage du FBI étaient consacrées à empêcher les
Israéliens de voler tout ce qu’ils pouvaient fabriquer ou proposer à la vente
sur le marché international, ou revendre la technologie aux Soviétiques ou aux
Chinois.
Le
dernier avion Egyptien s’est écrasé dans le Sinaï lorsque les Israéliens
menaient d’importants exercices de combat aérien avec un certain nombre de pays
de l’OTAN, et que l’avion était à portée de tir de ces exercices. Cela a été
totalement passé sous silence dans les reportages des grands médias. Qui
connaissons-nous, ayant un passé historique pour avoir non seulement commis des
attentats terroristes, mais pour en avoir retiré des profits à la bourse, en
contrats futures, en sachant quelles matières premières baisseraient après ce
type d’attentats ?
Cela
s’est produit avec les cours des actions des compagnies aériennes après le 11
septembre, sans aucune poursuite, ni même une arrestation. Et nous le constatons
lorsqu’on fait exploser de nombreux oléoducs et gazoducs en une semaine pour
interrompre l’approvisionnement. La liste des suspects ayant la capacité
logistique de faire de telles prouesses est courte, et elle ne comprend pas les
djihadistes.
© Veterans Today. Jim W. Dean
Traduction
française Patrick T rev Isabelle
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