Par Jay Greenberg / NeonNettle le 26 février 2017 © Neon
Nettle
John McCain a reçu des
financements illégaux de la part des Rothschild.
Une enquête sur la campagne de l’élection présidentielle de
2008 du Sénateur John McCain a révélé qu’il avait été sur la « fiche de
paie » de la famille bancaire Rothschild, selon un organisme de
surveillance de la campagne. L’enquête sur le financement illégal de McCain a
révélé que les Rothschild avaient fait secrètement parvenir des fonds à
l’ancien candidat à la présidentielle pour influencer ses politiques. Le
candidat Républicain a reçu des contributions de campagne de la part de Lord
Jacob Rothschild, le chef de la branche britannique de la dynastie bancaire, au
cours de sa campagne, ce qui est strictement interdit par la loi américaine du
fait que Rothschild n’est pas un citoyen américain.
McCain – Lieberman - Rothschild
L'enquête de Judicial Watch, un organisme de surveillance
basé à Washington D.C., a révélé une série d’actes illégaux contraires à la loi
américaine sur le financement de campagne, par le puissant banquier
britannique. Au cours de la campagne présidentielle de McCain de 2008, Lord
Jacob et son fils, Nathaniel Rothschild, ont invité le sénateur Républicain à
Londres pour une levée de fonds organisée en son honneur. Judicial Watch a
découvert que les Rothschild avaient financé de façon inappropriée le candidat
étant donné qu’il est interdit dans les campagnes politiques américaines
d’accepter des dons de la part de nationaux étrangers.
Le président de Judicial Watch, Tom Fitton, a déclaré :
« Les Rothschild ont payé la soirée, sa tenue, les frais de bouche et
autres coûts afférents », le coût de l’invitation pour l’évènement
organisé par les Rothschild est de 1 000 à 2 300 dollars, et le code
vestimentaire était « tenue de soirée » et cela permettait aux
invités de faire des dons supplémentaires. L’enquête a également révélé que
John McCain avait fait précéder son voyage aux Royaume Uni, pour complaire à
Lord Rothschild, d’une visite en Israël, l’état du Moyen-Orient qui compte la
famille Rothschild parmi ses grands bienfaiteurs, au point qu’un précédent
Rothschild Edmond, de la branche française basée à Paris, figure sur la monnaie
israélienne jusqu’à ce jour. McCain était accompagné au gala des Rothschild (et
en Israël) par son bon ami vieil ami d’Israël, le Sénateur Joseph Lieberman
(Indépendant – Connecticut), qui s’était rangé dans le camp de McCain et qui
était souvent pressenti comme son colistier en tant que Vice-Président ou comme
Secrétaire d’Etat d’une administration McCain.
Lieberman
et McCain au Mur des Lamentions
La campagne présidentielle
de John McCain de 2008 a été achetée et financée par les Rothschild selon Incog
Man
Que l’empire Rothschild veuille soutenir McCain n’est pas une
surprise pour ceux qui connaissent les antécédents de McCain. D’abord, McCain a
été longtemps un membre du Council on Foreign Relations (CFR).
Bien que, le 30 octobre 1993, le Washington Post ait décrit
le CFR comme « ce qui ressemble le plus aux pouvoirs établis qui dirigent
les Etats-Unis », en disant que ce sont « les gens qui, pendant plus
d’un demi-siècle (le CFR date de 1921), avaient géré nos affaires
internationales et notre complexe militaro-industriel », ce que le Post ne
disait pas c’est que le CFR n’est en fait que la filiale new-yorkaise du
célèbre Royal Institute of International Affairs (RIIA), qui a servi d’instrument
à la politique étrangère de la dynastie Rothschild, et longtemps été le
principal initiateur en coulisse, des entreprises impériales britanniques. De
plus, en coulisse les propres relations de McCain, dans son état d’origine en Arizona
(voir AFP du 4 février 2008) sont tout aussi intrigantes et fournissent un
indice supplémentaire sur la raison pour laquelle les Rothschild sont des
sponsors de McCain.
Comme l’a souligné l’AFP, feu le beau-père de McCain, Jim
Hensley, était un des dirigeants du réseau du crime organisé entourant Kemper
Marley, qui était le représentant en Arizona de la famille Bronfman – des
acteurs-clés du syndicat du crime de Lansky, populairement mais appelé
« la Mafia » de façon inappropriée - qui utilisait Marley pour
contrôler les deux grands partis politiques dans cet état. La famille Bronfman
a été alliée de longue date avec les Rothschild aussi bien en tant que grands
patrons milliardaires d’Israël que du mouvement sioniste mondial, à tel point
qu’Edgar Bronfman, le chef de la dynastie, a été durant de nombreuses années à
la tête du Congrès Juif Mondial, titre qu’il a passé à son fils Matthew, qui
est actuellement président du conseil d’administration du Congrès Juif Mondial.
Lorsque McCain s’est pour la première fois lancé dans une
course à la présidence, Edgar Bronfman a été un contributeur à sa campagne. Et c’est
là que McCain a recruté parmi ses plus proches collaborateurs l’omniprésent
William Kristol du journal néoconservateur férocement pro-israélien, The Weekly
Standard, dont le propriétaire n’était autre que Rupert Murdoch qui avait
accédé au pouvoir et à la richesse grâce au parrainage des familles Rothschild
et Bronfman. Kristol avait assisté aux réunions secrètes des Bilderberg qui
sont financées annuellement par la famille Rothschild en partenariat avec leurs
confrères américains de la famille Rockefeller. Donc la connexion
McCain-Bronfman-Rothschild est intime à de multiples niveaux et explique la
tendance à long terme de McCain à se faire l’avocat presque passionné des intérêts
d’Israël. McCain lui-même a prêté allégeance à Israël, par-delà et au-delà des
intérêts des Etats-Unis.
Dans un discours du 14 mars 1999 qu’il a tenu à New York
devant le National Council of Young Israel, McCain a déclaré : « En
tant que nation, nous avons choisi, d’intervenir militairement pour défendre
les valeurs morales, qui sont au centre de notre conscience nationale même
quand les intérêts nationaux vitaux ne sont pas en jeu. J’évoque ce point parce
qu’il est au cœur de l’approche de cette nation envers Israël. La survie
d’Israël est un des engagements moraux les plus importants de ce pays. Donc,
McCain serait volontaire pour engager les Etats-Unis dans une guerre pour
défendre Israël, même si les « les intérêts vitaux des Etats-Unis n’étaient
pas en jeu ». Son soutien à l’offensive contre les soi-disant états-voyous
islamiques faits partie intégrante de cette politique, qui est loin de donner
la priorité à l’Amérique. En fait, les antécédents montrent que McCain a
longtemps fait partie d’un groupe élitiste qui faisait la promotion d’une
intervention militaire américaine pour la défense d’Israël.
Selon l’édition du 2 août 1996 du Jewish Chronicle de
Londres, McCain était membre d’un groupe peu connu qui se nommait lui-même la
Commission de l’Intérêt National de l’Amérique qui avait publié un rapport
évaluant Israël comme un intérêt « de premier ordre » pour les
Etats-Unis, qui valait la peine qu’on « verse beaucoup d’argent et de
sang » - une conclusion que beaucoup d’Américains pourraient ne pas
partager. Le rapport évaluait la survie d’Israël « à égalité avec la
prévention d’une attaque nucléaire, ou biologique et nucléaire sur les
Etats-Unis en tant qu’intérêt vital de l’Amérique ».
Le Chronicle a résumé le rapport en citant le groupe, avec le
titre : « Les Américains devraient entrer en guerre pour défendre
Israël ». McCain a dit qu’il était guidé par des « principes
Wilsoniens » - la philosophie internationaliste selon laquelle les
militaires américains devaient servir à imposer ce que les critiques appelaient
le Nouvel Ordre Mondial. En 2006, en récompense de ses efforts enthousiastes en
faveur d’Israël, le JINSA (Jewish Institute for National Security Affairs) a
décerné à McCain son prix « distinguished service award » appelé en
mémoire de feu le Sénateur Henry M. Jackson (Démocrate – état de Washington)
qui a été longtemps l’un des membres favoris du lobby Israélien au Congrès.
Recevoir les louanges du JINSA, est cependant un honneur des plus douteux,
d’autant que plusieurs individus associés avec le JINSA, y compris son
fondateur Stephen Bryen, et son proche ami Richard Perle (un autre participant
régulier aux réunions du groupe Bilderberg), ainsi que Paul Wolfowitz (ancien
président de la Banque Mondiale et auteur de la « doctrine » qui porte
son nom) avaient tous fait l’objet d’une enquête du FBI dans les années
écoulées suspectés d’espionnage au profit d’Israël.
Dorénavant, le candidat présumé à la présidentielle du Parti
Républicain reçoit le soutien officiel public d’une famille sans égale du
Sionisme international – les Rothschild. Selon le Guardian : Judicial
Watch s’est également plaint à l’autorité électorale des Etats-Unis, la
commission électorale fédérale, de l’implication d’Elton John dans la campagne
de Clinton. Le groupe a prétendu que le rockeur anglais avait enfreint les lois
électorales américaines en donnant un spectacle lors d’une soirée de levée de
fonds au profit de la Sénatrice de New York. La campagne de Clinton a argumenté
que la loi américaine permettait au musicien britannique de faire don de son
temps et de solliciter les dons auprès des Américains. Il est peu probable que
la commission électorale fédérale se saisisse prochainement de la plainte du
groupe sur McCain, étant donné qu’elle est actuellement à court de personnel.
Pour en apprendre plus, voir : http://www.neonnettle.com/features/753-john-mccain-exposed-as-an-agent-of-the-rothschilds
© Neon Nettle
Traduction Patrick T rev Isabelle
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