Samedi,
le 10 février 2018
Par Anna Von Reitz
Oui, soyez
reconnaissants envers les Russes. Très reconnaissants. Et pas pour la première
fois, qui plus est. On ne vous l’a jamais appris à l’école, mais durant la
Guerre de Sécession, les Britanniques s’apprêtaient à débarquer sur nos côtes
et attaquer le peuple que leur honneur leur enjoignait de protéger. A l’époque c’est
le Tsar de Russie qui a envoyé sa flotte de guerre pour imposer un blocus
international qui a empêché les Britanniques de nous attaquer. C’est l’Alliance
Russo-Chinoise qui les empêche de nous attaquer aujourd’hui.
Les
Britanniques s’apprêtaient à nous assujettir à nouveau dans les années 1860,
mais la menace d’une guerre avec la Russie était un trop grand risque à courir
pour se faire ce plaisir. C’est la même chose aujourd’hui. La Russie nous
protège. Ce sont le Gouvernement Britannique, la Société de la Couronne
Britannique et l’ancienne Hégémonie Européenne vestige du Saint Empire Romain qui
constituent la menace. Voilà un groupe qui s’est nourri de nous comme des
vampires et nous a embrigadé dans des guerres au cours des 150 dernières années
pour le profit. Pas les intérêts Russes. Ni les Chinois.
Pour ceux
d’entre vous qui ne savent pas lire dans le marc de café, la France, plus
précisément la Banque de France, nous restitue 475 000 milliards de
dollars qu’ils gardaient en « dépôt » pour notre compte. Bien sûr,
ils ne nous ont pas dit un mot de cet accord. Ils attendaient gentiment en
espérant que nous serions trop stupides pour suivre la trace des documents et pour
nous rendre compte que ce n’était pas nous qui étions leurs débiteurs. Ils
espéraient sans doute que nous allions juste renoncer à tous ces actifs et ne
jamais exercer nos droits de créancier, mais … c’est ce que nous avons fait. Dieu Merci !
Durant la
période où ils espéraient que nous serions assez bêtes pour leur permettre de
clamer la renonciation à ces fonds, ils ont généreusement utilisé une partie de
notre propre argent pour le re-prêter à nos fonctionnaires du Gouvernement
Territorial des Etats-Unis et ils ont lancé ce que j’ai appelé « La
Nouvelle République » - la New (supposément Américaine, mais en fait
Française) Republic, tout bonnement dans l’espoir de créer un nouveau contrat
de prestations de service gouvernemental pour eux-mêmes par le biais d’un
mécanisme de refinancement de la dette. Si nous avions été assez stupides pour
reprendre de la dette, ils auraient été assez malins pour assumer le rôle de créancier
privilégié et prêter notre argent à nos fonctionnaires moyennant intérêts.
Comme
c’est pratique. La France nous prête notre propre argent avec intérêt, et pour
nos fonctionnaires, fait figure de Nouveau Patron. Est-ce que quelqu’un osera
dire le Gros Mot – « usurpation » ? C’est pourquoi nous avons
systématiquement envoyé une fin de non recevoir de l’offre de Jacob Rothschild
en lui disant : « Merci, mais non merci ».
C’est
notre argent. Nous n’avons pas besoin de le prêter à nos Fonctionnaires avec
intérêt. Et nous n’avons pas besoin de prestataires de services Français pour
nous fournir les « prestations de services gouvernementaux
essentiels » la dernière fois que j’ai pu l’observer. Avec 475 000 milliards de $ en banque, nous pouvons recruter
et virer qui nous voulons. Nous pouvons avoir une République Américaine au lieu
d’un truc qui semble être Américain mais qui ne
l’est pas.
Maintenant,
certains d’entre vous qui ont suivi les vraies nouvelles au lieu des fausses
nouvelles se rappelleront qu’en automne dernier le Canada était intervenu pour
reprendre les Etats-Unis en faillite ? Si le Gouvernement Britannique
avait réussi son coup, nous aurions été en guerre avec le CANADA – qui nous
doit pas mal d’argent et qui espérait y gagner en évitant de nous rembourser –
ainsi que la société des Nations Unies, qui se trouve dans une posture
similaire.
Mais une
fois de plus, les Russes sont venus à notre secours, ont tapé du pied en disant
« NIET ! » à ce plan.
Une fois
de plus, comme dans les années 1860, la Marine Russe a fait pression, très
calmement, et a donné suffisamment de tracas aux Comploteurs Britanniques pour
y réfléchir à deux fois.
C’est
grâce aux Russes que nos frontières non sécurisées ne fourmillent pas de
troupes Mexicaines, Canadiennes et Onusiennes. C’est grâce aux Russes que notre
pays est relativement paisible et que nous pouvons progresser pour récupérer nos
actifs spoliés et régler nos affaires de façon responsable. C’est grâce aux
Russes que les peuples et les pays qui sont profondément endettés envers nous –
les Britanniques, l’Union Européenne et la plupart des pays du monde – ne sont
pas en train d’essayer de nous tuer ou de nous soumettre
pour éviter de payer leurs propres dettes.
L’Amérique,
par rapport au Gouvernement Britannique, s’est comportée comme une jeune
écolière stupide qui est amoureuse d’un vieil homme diabolique, une gamine de
dix-sept ans qui confond ses besoins de luxure avec l’amour et qui en toute
confiance donne, redonne et donne encore à l’Oncle Monty. Il est grand temps de grandir, de s’éveiller et de comprendre,
qui sont ceux qui ont toujours été nos
véritables ennemis.
Au cours
des 150 dernières années, nous avons été abreuvés de propagande sur les
méchants Russes, d’avoir peur des Russes, des méchants Ruskys … mais les Russes
sont restés sur leurs gardes et ont protégé nos arrières à plus d’une occasion
et nous ont défendu contre les pouvoirs et les principautés qui se prétendaient
nos amis et nos alliés – et ne l’étaient pas.
De même,
si vous observez la situation à la lumière du Traité Secret de Vérone (1822),
il est évident que nous et nos états républicains Américains, avec nos idéaux
égalitaires et notre souhait d’un gouvernement avec ses limites – sommes les
ennemis naturels de l’ancien Saint Empire Romain et des Monarques Britanniques,
tout comme la mangouste est l’ennemi naturel du serpent. Ils croient dans le
« droit divin » des Monarques et des Papes, mais nous non, et les
Russes non plus.
Nous avons
bien plus de choses en commun sur l’idéologie avec les
Russes au sujet du respect de l’individu lambda, autrement dit, des soldats,
des travailleurs et des agriculteurs – que nous n’en aurons jamais avec les
Monarchistes et les Papistes.
Il est
temps que nous reconnaissions le motif très intéressé que les anciennes
Monarchies Européennes et les Papes ont eu de prêcher de la propagande antirusse
pendant des décennies. Ils nous ont maintenus dans l’illusion du « Péril
Rouge » parce que le Communisme Russe, tout comme l’Indépendance
Américaine, constitue une menace pour eux-mêmes et leur pouvoir féodal qui
nécessite de réduire en esclavage la multitude pour satisfaire les appétits
insatiables d’une infime minorité.
Suis-je
inquiète que le Président Trump coopère avec les Russes ? Non, je suis
ravie et reconnaissante de le constater. Je suis soulagée de le constater. Cela
me conforte que le Président ne soit pas dupe, et que peut-être, enfin, nous
aurons le bon sens de donner un bon coup pied bien mérité dans le bide de l’Oncle Monty, de nettoyer notre propre bourbier, et de restaurer notre
propre gouvernement.
Nous avons
proclamé notre indépendance de la Grande-Bretagne en 1776. Il est grand temps
que nous l’exercions.
Juge Anna Von Reitz – Big Lake, Alaska
Traduction
Patrick T revu Isabelle
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