URGENT : L’arnaque de l’empoisonnement de Skripal
s’effondre
Par Ian Greenhalgh,
le 14 avril 2018
[Note de
l’éditeur : L’affaire
concernant l’empoisonnement de Skripal est depuis le tout début assez
grotesque ; un vieil homme et sa fille, des inconnus absolus, empoisonnés
par un agent neurotoxique militaire, réussissent à survivre et s’en remettre.
C’est pratiquement invraisemblable, les agents neurotoxiques tuent en quelques
secondes, et les Russes n’avaient aucun intérêt à empoisonner un ancien espion
retraité qui avait purgé sa peine de prison il y a longtemps.
A présent nous disposons de la première preuve
concrète que tout ce misérable scénario n’est qu’une arnaque perpétrée par les
Britanniques. Le BZ* est une pourriture développée par les Britanniques et les
Américains. Il a été testé en Angola et dans d’autres pays, c’est un agent hallucinogène
qui est un invalidant, et non un agent neurotoxique mortel.
*Le BZ ou 3-quinuclidinyl
benzilate (Source : Wikipédia)
Aujourd’hui, l’OPCW (L’organisation pour l’Interdiction
des Armes Chimiques) commence son enquête à Douma (Syrie), où nous sommes
certains qu’elle ne trouvera aucune preuve qu’Assad ait gazé qui que ce soit.
Nous ne devrions pas être surpris que l’enquête de
l’OPCW à Douma pulvérise le scénario « d’Assad le monstre qui gaze son
propre peuple », tout comme les tests des laboratoires Suisses démontrent
qu’ils ont démoli le conte de fées sur Skripal.
En outre, nous ne serions pas surpris si les premiers
rapports de l’OPCW étaient ignorés et contestés par les États-Unis, étant donné
que cela compromet les prévisions de guerre qui semblent se dérouler
inexorablement.
Nous ne pouvons qu’espérer
que l’enquête criminelle visant Trump puisse évincer cette carcasse à la tête
blonde du Bureau Ovale avant qu’il ne soit trop tard. Ian]
https://www.veteranstoday.com/2018/04/14/breaking-skripal-poisoning-fraud-is-collapsing/
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RT (Russia Today)
RT (Russia Today)
Lavrov : le
laboratoire Suisse affirme que « la toxine BZ » utilisée à Salisbury
n’est pas produite en Russie, mais qu’elle l’est dans l’armée Américaine et
Britannique
La substance utilisée contre Serguei Skripal était un
agent appelé BZ, selon le laboratoire Suisse Spiez, a déclaré le ministre des
Affaires Etrangères Russe. La toxine n’a jamais été produite en Russie, mais
était utilisée aux Etats-Unis, au Royaume Uni et dans d’autres pays de l’OTAN.
Serguei Skripal, un ancien agent-double Russe, et sa
fille Yulia, ont été empoisonnés par une toxine invalidante connue sous le nom
de 3-Quinuclidinyl benzilate ou BZ, a déclaré le Ministre des Affaires
Etrangères Russe Serguei Lavrov, mentionnant les résultats des analyses
réalisées par un laboratoire chimique Suisse qui a travaillé sur les
échantillons fournis par Londres à l’Organisation pour l’Interdiction des Armes
Chimiques (OPCW).
Le laboratoire Suisse a envoyé les résultats à l’OPCW.
Cependant, le surveillant des armes chimique pour les Nations Unies s’est
contenté de confirmer la formule utilisée pour empoisonner les Skripal dans son
rapport final sans mentionner les autres faits présentés dans le rapport
Suisse, a ajouté le ministre des Affaires Etrangères Russe. Il a poursuivi en affirmant
que Moscou allait demander à l’OPCW pourquoi elle avait décidé de ne pas
inclure dans son rapport les autres informations fournies par la Suisse.
Le centre toxicologique Suisse mentionné par Lavrov
est le Laboratoire Spiez qui est sous le contrôle de l’Office Fédéral Suisse de
la Protection Civile rattaché au ministre de la Défense. Le laboratoire est un
centre toxicologique reconnu au niveau international dans le domaine de la
protection nucléaire, biologique et chimique et l’un des cinq centres
permanents habilités par l’OPCW.
Le ministre des Affaires Etrangères Russe a déclaré
que Londres avait refusé de répondre à plus d’une douzaine de questions
« très spécifiques » sur l’affaire de Salisbury par Moscou, et
d’apporter d’autres éléments de preuves substantielles qui pourraient faire la
lumière sur cet incident. Au contraire, le Royaume Uni a accusé la Russie
d’éviter de répondre à ses propres questions, en ajoutant, qu’en fait Londres
n’avait pas posé la moindre question mais voulait que Moscou reconnaisse sa
responsabilité dans la livraison de l’agent neurotoxique au Royaume Uni.
Le scandale a éclaté début mars, lorsque l’ancien
agent-double Serguei Skripal et sa fille Yulia ont été découverts dans un état
critique dans la ville de Salisbury. Des dirigeants du Royaume Uni ont presque
immédiatement pointé la responsabilité de cette agression contre la Russie.
Moscou considère que toute l’affaire Skripal manque de
transparence et que le Royaume Uni n’est absolument pas intéressé par une
enquête indépendante. « Nous avons l’impression que le gouvernement
Britannique poursuit délibérément une politique de destruction des preuves,
classant secret défense tous les documents restants, ce qui rend une enquête en
toute transparence impossible », a déclaré l’ambassadeur de Russie au
Royaume Uni, Alexander Yakovenko, lors d’une conférence de presse vendredi.
Tweet -Spiez Laboratory 18 avril – 19h10 : ECM59
Traduction française Patrick T revu Isabelle
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