Wednesday, May 24, 2017

Peter Pan rencontre le Sommet de la Pyramide

Par Jack Heart le 27 mars 2017

Canulars du Projet Manhattan et Légendes de Long Island
Interstellar, scène de connexion quantique (crédit photo : Film Interstellar)
Par Jack Heart & Orage
 « Du moment que vous doutez que vous puissiez vous envoler, vous cessez à jamais de pouvoir le faire » - Peter Pan
La réalité du troupeau n’est rien d’autre qu’un mythe étiologique, une histoire concoctée en accord avec les croyances prédominantes pour expliquer comment une chose déjà existante en est venue à exister.
Lorsque les agriculteurs (Bauers) abandonnent leur troupeau, malgré ce qui peut se passer en surface, les nombreux bergers secrets de troupeaux de l’humanité se réjouiront de la « continuité ». Voici des officiels de l’administration Bush entrant dans le bunker de la Base Aérienne d’Offutt le 11 septembre – un jour où l’imagination a fait défaut, mais pas de la manière dont elle a été présentée dans les journaux.
Les enfants d’Abraham racontent une histoire sur la manière dont leur dieu a créé des arcs-en-ciel comme promesse qu’il ne le ferait plus jamais après qu’il ait plongé le monde entier dans le déluge. Puis ils se moquent de Peter Pan …
La mythologie même en tant que mot devrait être rayée de la langue anglaise. Il n’existe pas de mythes, seulement des réalités alternatives – chacune d’entre elles étant toute aussi crédible et aussi réelle que l’autre. Celle que vit l’observateur ne dépend que de ce qu’il considère comme réel.
Si Peter Pan saute du toit de l’Empire State Building en votre présence, il finira sans nul doute écrasé comme une crêpe sanguinolente sur le trottoir – mais dans un autre monde, il plane comme un pigeon ivre au-dessus de la Cinquième Avenue. La crêpe sanguinolente fait partie de votre monde, pas du sien.

Le troupeau, la mafia, la multitude mal dégrossie sont des animaux de ferme et il est rare que leurs bergers leur disent la vérité.
Ils croient, ils paissent et ils bêlent, ils vivent et meurent d’après ce qu’on leur raconte. Ce sont les proverbiales six cents âmes perdues de la Tour Sud du World Trade Center, qui n’étaient que trop désireuses d’ignorer la Tour Nord en flammes qu’ils avaient sous les yeux, pour écouter les promesses d’une autorité incorporelle, qui leur dit sur un système de télédiffusion publique sans visage que tout ira bien, pourvu qu’ils se remettent au travail. Pour eux, en bêtes de somme qu’ils sont, la mort ne peut survenir assez tôt, et c’est ce qui est arrivé …
Ce sont des Esclaves, ce sont des Hilotes, ce sont des Shudras de l’ère technologique, conditionnés pour se pâmer à la seule mention du nom d’Albert Einstein. Albert Einstein ! « Albert Einstein, le divin Juif qui a changé le cours de l’histoire humaine au début du vingtième siècle … »
Tout cela serait amusant si cela ne contenait pas un brin de vérité.
Il existait bien un divin scientifique juif dans la première moitié du vingtième siècle dont découle tout ce que l’homme du vingt-et-unième siècle voit maintenant devant lui. Mais son nom n’était pas Albert Einstein, et il était en fait, en plus d’être un Juif qui adorait raconter des blagues Yiddish à d’autres Juifs, un « Nazi » fanatiquement dévoué …
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L’inspiration de John von Neumann
John von Neumann (à droite) avec Stan Ulam et Richard Feynman
John von Neumann (né Janos Lajos Neumann) a publié plus de cent cinquante contributions scientifiques au cours de sa vie, et chacune d’entre elles a modifié le cours de l’histoire humaine ; mais en fin de compte, il n’a publié que ce qui était nécessaire pour faire évoluer la science traditionnelle vers le vingt-et-unième siècle. La plupart de ses réalisations étaient ultrasecrètes.  
Enrico Fermi a peut-être construit la bombe presque d’une seule main, et Martin Bormann a peut-être fourni de l’uranium 235 lorsqu’il a livré le sous-marin U-234 aux Alliés, mais c’est John von Neumann qui a fait fonctionner tout cela.
C’était von Neumann qui a conçu le mécanisme du détonateur à implosion de Fat Man, la bombe au plutonium qui a rasé Nagasaki, et celle pour laquelle les Allemands avaient si commodément fourni les amorces à infrarouge à bord du U-234. C’est von Neumann qui a sélectionné Hiroshima et Nagasaki comme cibles après avoir dû renoncer à Kyoto – son choix initial – à cause du Secrétaire à la Guerre Henry L. Stimson ; et c’est von Neumann qui, de l’avis même des universitaires traditionnels, a calculé les « hauteurs » exactes auxquelles les bombes allaient exploser …  En 1950, von Neumann est devenu consultant pour le Weapons Systems Evaluation Group (WSEG) (Groupe d’Evaluation des Systèmes d’Armement). Le WSEG conseillait le chef d’état-major interarmées et le Secrétaire de la Défense sur la transformation des armes par les nouvelles technologies. Après cela, il a été l’homme de l’ombre du gouvernement, et a inspiré à Stanley Kubrick son célèbre personnage du Docteur Folamour dans le film du même nom de 64
Le docteur Folamour
Au cours des dernières phases de sa maladie, von Neumann était condamné à la chaise roulante, et les réunions qui allaient définir les politiques à suivre et qui sont encore en place aujourd’hui au titre de la « Sécurité Nationale » se tenaient souvent dans sa maison.
Ses travaux étaient tellement secrets qu’un contingent armé l’a assisté lorsqu’il est mort d’un cancer au Centre Médical de l’Armée Walter Reed en 1957*. Il n’y aurait pas de confessions impromptues sur le lit de mort dans la biographie de John von Neumann …
*Selon certaines rumeurs, la mort de von Neumann aurait été simulée, ce qui n’était pas très difficile dans un hôpital militaire. (NdT)
Dans son livre de 1932, Mathematische Grundlagen der Quantenmechanik (Fondements mathématiques de la Mécanique quantique), l’ouvrage qui définit la mécanique quantique jusqu’à nos jours, von Neumann attribue la nature indéterminée de la physique quantique à l’intervention de la conscience de l’observateur qui échappe à tout calcul mathématique.
Il a dit que la totalité de l’univers pouvait être décrit comme une fonction d’onde, et que l’effondrement de la fonction d’onde n’était dû qu’à la conscience de l’observateur. Chez les physiciens, cette école de pensée est appelée l’interprétation de von Neumann-Wigner. Son abandon brutal de tout déterminisme n’a que modérément séduit une université qui avait bâti son temple sur les fondements du rationalisme.
Von Neumann a été en pointe sur une nouvelle technique, la méthode de Monte Carlo, qui a été utilisée pour résoudre une grande variété de problèmes scientifiques
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Le Successeur de von Neumann
Hugh Everett III, né en 1930, était le successeur de von Neumann au WSEG. Everett, tout comme von Neumann, était de sang bleu. Mais seul Everett était un fils loyal de l’Empire Anglo-Américain, dont le père était lieutenant-colonel de l’administration générale au cours de la Deuxième Guerre Mondiale. Après la guerre, Everett a pris une année sabbatique en 1949 pour rester avec son père dans l’Allemagne occupée. Ensemble, ils ont pris des centaines de clichés de qualité professionnelle sur les aspects techniques de la reconstruction, tous étrangement « dénués de personnes ». 1
Après avoir fréquenté des écoles catholiques les plus sélectionnées de Washington DC et un diplôme d’ingénieur chimiste en 1953, Everett bénéficia d’une bourse d’études, de la National Science Foundation lui permettant d’étudier à Princeton. Là il a d’abord étudié la Théorie des Jeux, une branche des mathématiques créée par von Neumann en 1928. La Théorie des Jeux analyse les stratégies des participants dans des situations de concurrence.
Vers 1954, Everett s’est immergé dans la physique des mathématiques à Princeton sous la houlette d’Eugene Wigner*, celui de l’interprétation de von Neumann-Wigner. En 1955, il avait son diplôme de maîtrise et a commencé à travailler sa thèse :  Wave Mechanics Without Probability (Mécanique ondulatoire sans probabilité), qu’il allait terminer en avril 1956. Un mois plus tard, il a commencé à travailler pour le WSEG où il allait devenir Directeur du Département des Sciences Physiques et Mathématiques en 1957, l’année de la mort de von Neumann. Tout ce qu’Everett a réalisé après cela est classé secret.
*Wigner, tout comme von Neumann était d’origine hongroise, naturalisé américain. (NdT)
Ici nous voyons une solution à l’équation de Schrödinger pour une particule libre (c’est-à-dire une particule ne subissant aucune force, donc son potentiel V=0). L’axe des y (l’axe le plus horizontal à gauche) est la partie réelle de la fonction d’onde et l’axe des z (l’autre axe sur la gauche) est la partie imaginaire. Si vous regardez ce schéma, la fonction d’onde continue indéfiniment dans les deux directions, bien qu’on n’en ait représenté qu’un segment défini. Mais, à l’évidence si l’esprit humain modifie l’axe des z, alors l’onde est modifiée dans cette situation.
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La thèse de doctorat d’Everett a reconsidéré la théorie physique sens dessus-dessous. Everett a affirmé que la fonction d’onde ne s’effondrait pas, niant ainsi le précepte le plus sacré de l’Ecole de Copenhague. Ce qu’a soutenu Everett était la même chose que l’inventeur des équations qui décrivent la fonction d’onde, Erwin Schrödinger, avait affirmé aux physiciens quatre ans auparavant dans sa fameuse conférence, lorsqu’il les a prévenus que ce qu’il allait dire leur « semblerait dingue ». 2
Schrödinger a ensuite poursuivi en disant qu’il n’existe rien de tel que des probabilités et que, lorsque ses équations semblent décrire plusieurs hypothèses différentes, ce ne sont « pas des alternatives », mais que tout se déroule simultanément … » 3
Revenons à l’Empire State Building, vous regardez Peter la Crêpe. Mais dans une réalité alternative, toute aussi réelle que la vôtre, Peter Pan descend la Cinquième Avenue en planant et en se moquant de vous. Peter Pan ne peut pas mourir et vous non plus, cela s’appelle de l’Immortalité Quantique.
Everett croyait si fort à cela qu’il en est mort, à force de manger, boire et fumer, à l’âge de cinquante-deux ans, en se donnant en spectacle devant sa famille et se vantant devant ses collègues combien il était satisfait d’avoir réussi sa vie. Plus tard, dans l’espoir qu’elle le rejoindrait dans le bel univers parallèle, sa fille allait commettre un suicide en demandant dans sa lettre de suicide que ses cendres soient jetées avec les ordures, comme Everett avait insisté pour que les siennes le soient.
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Le destrier de Satan

Les prémisses fondamentales de l’infâme trilogie du Projet Montauk de Preston Nichols étaient la production artificielle, l’amplification et l’introduction artificielle d’une fréquence d’oscillation chez des sujets, habituellement des garçons prépubères, ayant le bon type de sang nordique. Assis dans un fauteuil conçu par von Neumann pour parvenir à une synthèse harmonique entre le sujet et la fréquence induite, le sujet peut projeter des réalités alternatives, avec lesquelles même des êtres peuvent se mettre en relation.
On peut ouvrir des trous de ver et manipuler le temps pour y déployer une armée de supersoldats sous contrôle mental, créés par de la technologie secrète nazie. La raison d’être du projet est fournie par l’Œuvre de Babylone, l’ultime achèvement de la Magie d’Aleister Crowley. L’ensemble était mis en œuvre sous la direction de von Neumann et dirigé, après la guerre, à partir du Laboratoire de Brookhaven à Long Island. La plupart des expérimentations se sont déroulées dans une base militaire souterraine à grande profondeur (DUMB) située sous Camp Hero, une station radar maintenant désaffectée sur la pointe de Montauk, Long Island.
Le premier livre The Montauk Project : Experiments in Time (Le Projet Montauk : Les expérimentations avec le Temps) a été publié en 1992. Sa couverture représente une statue d’un grand destrier cabré ayant une horloge sur le ventre. Dans le livre, prétendant avoir participé lui-même aux expériences en tant que technicien, Nichols affirme à ses lecteurs, sans se soucier de leur donner une quelconque raison de ses révélations, qu’on ne peut accéder à l’avenir avant que le voyageur temporel ne se trouve en face de la statue d’un grand destrier cabré dans un paysage vide de gens.
La statue du destrier de Satan à l’Aéroport International de Denver
En 1993, l’artiste du Nouveau-Mexique Luis Jimenez a été sélectionné pour ériger une statue de dix mètres de haut devant l’Aéroport International de Denver (DIA) alors en cours de construction. Il a fallu quinze ans pour l’achever et elle ressemble presqu’exactement au destrier cabré représenté sur la couverture du livre de Preston Nichols.
Les différences étant que la statue de Jimenez est peinte en bleu, n’a pas d’horloge, et se cabre au maximum de sa hauteur. L’aéroport a ouvert en 1995, mais la statue n’a été achevée qu’en 2008. Jimenez a été tué en 2006 lorsqu’une partie s’est détachée de son support et lui a sectionné l’artère fémorale. Il s’est vidé de son sang dans son atelier de Hondo au Nouveau-Mexique, treize ans après avoir remporté la commande.
Ses fils ont achevé l’œuvre qui est maintenant exposée à l’aéroport, laissant une impression durable d’effroi aux près de vingt-huit millions de voyageurs qui passent devant chaque année. En raison de ses yeux rouges luisants, certains ont décidé de l’appeler le « Cheval du Diable » ou le « Destrier de Satan ».
Mais les faits demeurent que, bien avant que « Blucifer » ne fixe d’un regard « froid et sans pitié » Pena Boulevard, la rue principale de l’aéroport (Denver International Airport) que W.B. Yeats avait prédit un siècle auparavant, les gens ont remarqué que les pistes de Denver formaient un swastika lorsqu’on les regardait du ciel. Le socle de dédicace de DIA est de nature maçonnique, l’art décoratif de l’intérieur est apocalyptique et ses quatorze mille hectares de terrain représentent presque deux fois la superficie du deuxième aéroport le plus important d’Amérique.
Avec près de cinq milliards de dollars, l’aéroport de Denver a fini par coûter presque deux fois le budget prévu, a dépassé de seize mois le délai prévu et a été construit apparemment au milieu de nulle part.
Des rumeurs ont circulé, appuyées par des faits comme ceux-ci, que l’aéroport lui-même n’était que l’apparence extérieure d’une base militaire souterraine à grande profondeur (DUMB) qui est le centre d’une conspiration luciférienne visant à éliminer 90% des « bouches inutiles » du monde et à faire aboutir le Nouvel Ordre Mondial des rêves maçonniques. Ce rêve, dans un geste apparemment sarcastique, a été gravé dans le granit des Georgia Guidestones au début des années quatre-vingt …

C’était Aleister Crowley en personne qui avait donné l’ordre de marche pour instaurer la nouvelle réalité, une réalité sans aucune réalité, sans limites, sans règles – une réalité « indéterminée » où les élus prendraient d’étranges drogues et feraient l’amour à de grandes bêtes féminines pourpres. Dans le Book of the Law (le Livre de la Loi), rédigé en 1904, Crowley a appelé le Magi à la guerre contre ce qu’il appelait l’ancien monde gris.
 « Je suis le Seigneur de la guerre des années Quarante ; les années Quatre-vingts tremblent devant moi, et sont humiliées. Je vais vous conduire à la victoire et à la joie : je vais être à vos côtés dans la bataille et vous allez prendre plaisir à tuer. Le succès est votre épreuve ; le courage est votre armure ; continuez, continuez, ma force est avec vous ; et vous ne reculerez devant rien ! »
Karl Pribam, l’auteur de la Théorie Holonomique du Cerveau et l’initiateur éclairé du Paradigme Holographique a maintes fois souligné qu’en 1906, des scientifiques allemands avaient commencé à explorer la possibilité que le cerveau fonctionne comme un récepteur de fréquences. 4
Le système Monte Carlo monté en réseau (MMC) est un dispositif  solveur de Monte Carlo pour la migration de photons dans un milieu trouble 3D tel que le cerveau. Ce modèle est gradué en nanosecondes.
Mais même avant cela, des expériences de communication sans fil et de décharge électrique – réalisées en Allemagne par des scientifiques tels que Friedrich Paschen et son successeur Max Wien et ailleurs par Nikola Tesla, Guglielmo Marconi et d’autres – avaient prouvé sans l’ombre d’un doute que ce monde dans lesquels vit l’espèce humaine n’est rien d’autre qu’un signal de fréquence et qu’on peut changer de canal.
Ces expériences n’ont jamais été rendues publiques. En fait, Paschen et Wien, deux des plus grands praticiens scientifiques ayant jamais vécu, ont été quasiment éliminés de l’histoire, un autre, Tesla, a été présenté comme un charlatan et Marconi comme un vendeur de spaghettis.
L’histoire, parce qu’elle est écrite par des universitaires dépendant de leurs mécènes, et ceci depuis l’époque d’Hérodote, ne raconte jamais la vérité.
L’histoire raconte à ceux qu’elle séduit ce que ses mécènes veulent qu’ils entendent.
C’est pourquoi dans les temps qui ont précédé le Christianisme, lorsque l’homme occidental était encore apte à la pensée critique, Hérodote était surnommé le Père des Mensonges. Maintenant on l’appelle le Père de l’Histoire …
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La Machine temporelle

Walter Gerlach était le plénipotentiaire d’Hitler pour la physique nucléaire dans le Conseil de Recherche du Reich (Reichsforschungsrat créé en 1937). Après la guerre, il a été désigné comme le scientifique responsable des énigmatiques « expériences de Cloche Nazie » par Jakob Sporrenberg qui allait être pendu peu après. Il était SS-Gruppenführer et Lieutenant-général de la police pour la Pologne et la Biélorussie lorsque ces expériences ont été menées. Gerlach a fait son apprentissage sous la houlette de Paschen, qui avait été appelé à servir durant la Première Guerre Mondiale sous les ordres de Wien dans le domaine de la communication sans fil pour le compte de l’armée allemande.
Ces hommes réalisaient tous, l’œuvre de pionniers dans le domaine des ondes lumineuses sous le spectre visible. Ils étudiaient les fréquences des radiations électromagnétiques émises au cours de la transition d’un état énergétique supérieur vers un état inférieur, la même qui se produit au cours du décalage gravitationnel vers le rouge (redshift) où le temps est modifié. Wien faisait même des expériences en synchronisant deux pendules tout comme l’analyse harmonique de Fourier est capable de le faire sur le papier.
Cet étrange appareil cylindrique générait un énorme vortex dans le champ éthérique en utilisant des champs rotatifs contraires de plasma de mercure. Bien que d’aucuns aient émis l’hypothèse qu’il s’agissait d’un engin volant à antigravité, il semble plus probable qu’il se soit agi d’une tentative primitive pour créer un portail de « trou de ver » artificiel capable de rompre la barrière de la quarantaine. Quel qu’ait été son usage, le projet de Cloche et ses concepteurs ont disparu de la surface peu avant la fin de la guerre.
Même avant que les Allemands ne travaillent sur leur Machine Temporelle, ce qu’était précisément la Cloche Nazie, au début des années vingt, ils avaient déjà construit une Jenseitsflugmaschine ou « machine volante de l’au-delà » sous la direction d’Otto Schumann. Schumann, un autre des grands praticiens scientifiques allemands éliminé de l’histoire, était l’équivalent allemand de Nikola Tesla et peut-être le plus grand expert mondial en technologie de haut-voltage de son temps.
Il suivait les instructions fournies par de belles et mystérieuses magiciennes (appelées les “Dames du Vril”) qui racontaient aux scientifiques allemands de la Société Thulé (Thule Gesellschaft) qui travaillaient avec elles qu’elles canalisaient les schémas techniques du vaisseau qu’elles recevaient de la part d’entités désincarnées.
Après la guerre, Schumann, sous le couvert de l’Opération Paperclip, allait être enfermé à la Base Aérienne Wright Patterson pendant deux ans, en compagnie de deux cent vingt tonnes de documents secrets allemands sur l’aviation.
Rien de ce qui a été appris, n’a jamais été rendu public. Dans les années cinquante, Schumann allait être crédité de la découverte de la Résonance de Schumann, un ensemble de pics de fréquences dans la gamme des Très Basses Fréquences du champ électromagnétique terrestre, habituellement autour de 7,83 Hertz (Hz) mais allant de trois à soixante Hz, lesquelles sont relatives à l’activité mondiale des éclairs, qui les génèrent. La Résonance de Schumann est le battement de la Terre vivante …
Les dames du Vril

              

Au début des années 1880, lorsqu’Heinrich Hertz – qui a donné son nom à l’unité de mesure – a prouvé l’existence des ondes électromagnétiques en laboratoire, il y a eu une série incessante et ininterrompue d’expériences des Allemands et un effort herculéen pour produire des fréquences de plus en plus élevées. Les premières expériences de Wien ont conduit à l’invention en 1920 de l’oscillateur de Barkhausen-Kurz (ou tube B-K) par Heinrich Barkhausen et Karl Kurz.
Il s’agissait du premier oscillateur qui pouvait produire des ondes électromagnétiques modulées dans une gamme de très-hautes fréquences (UHF), en d’autres termes, des ondes radio. Mais, fait plus important, les Allemands pouvaient désormais changer de canal avec leur Machine Volante de l’au-delà et explorer une multitude de mondes invisibles attenants à celui dans lequel l’espèce humaine était piégée.
En 1935, Oskar Heil, un des rares grands savants allemands qui n’a pas été éliminé de l’histoire, aux côtés de sa brillante épouse Russe, Agnesa Arsenjewa, allait couronner l’effort allemand avec une communication scientifique qui présentait au monde un tube à modulation de vitesse ou tube Heil. Le tube Heil est capable d’émettre des électrons par paquets, permettant ainsi la génération d’ondes radio à des fréquences bien plus élevées que ce qui était possible avec les tubes à vide utilisés jusque-là.
Le tube Heil a été le tout premier générateur de micro-ondes utilisable. Il a été crucial pour le développement de la technologie des radars et est toujours utilisé de nos jours. Heil a également déposé plusieurs brevets de dispositifs « similaires au transistor » avant la guerre. En 1947, il a été « invité » à venir aux Etats-Unis. A la fin de 1947, les Laboratoires Bell annonçaient l’invention du « transistor à point de jonction … »
Amorces à infrarouge
Vue aérienne de la route menant à Los Alamos (photo d’archive)

A la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, l’Amérique avait besoin de cinquante kilos d’uranium 235 pour obtenir la masse critique nécessaire à l’explosion d’une bombe atomique. Dans une circulaire du 28 décembre 1944, le chef métallurgiste de Los Alamos, Eric Jette, a écrit : « Une analyse des expéditions (d’uranium enrichi de qualité militaire) des trois derniers mois montre l’évolution suivante : au rythme actuel nous disposerons de 10 kilos le 7 février et de 15 kilos vers le 1er mai ».
Au mieux, la bombe atomique américaine aurait disposé d’un peu plus de la moitié de l’uranium nécessaire pour obtenir une masse critique le 6 août quarante-cinq, le jour où ils l’ont larguée sur Hiroshima.
La même explosion pouvait être provoquée en utilisant seulement un tiers de cette quantité de plutonium, mais le seul homme qui savait comment faire exploser du plutonium, von Neumann, travaillait avec une science différente des disciples d’Einstein qui avaient construit les bombes de l’Amérique. Il aurait besoin de quelque chose que seuls les Allemands pouvaient produire.
Par un accord qui allait convaincre le monde que les Alliés avaient gagné la guerre, où ils avaient au mieux fait jeu égal, le lot de consolation de l’empire Anglo-Américain a été apporté par le sous-marin U-234 dans le cadre d’un accord conclu avec Martin Bormann, le bras-droit d’Hitler. Parmi les trésors à bord de l’U-234 se trouvaient les amorces à infrarouge qui étaient nécessaires à l’utilisation des lentilles explosives spécialement conçues par von Neumann pour comprimer et faire détoner le cœur de plutonium de la bombe qui allait être larguée ultérieurement sur Nagasaki.
 
Heinz Schlicke
Tout au long du projet, se tenait le Dr. Heinz Schlicke, peut-être le meilleur expert vivant en science électromagnétique. Schlicke avait étudié sous la houlette de Barkhausen en Allemagne. Sa thèse de doctorat portait sur la « Contribution d’oscillateurs et de sous-harmoniques ».
Il allait enseigner à ces empotés d’Américains comment utiliser les amorces à infrarouge et beaucoup d’autres choses, en travaillant dans le cadre de l’Opération Paperclip après la guerre au Bureau de Recherche Navale (ONR) de Sands Point, à Long Island. Il y travaillait à ce qu’on a appelé depuis la Technologie Furtive. En considérant « Bluebirds » et « Bluebooks » « Have Blue » « Project Blue Beam » et maintenant même un « Blue Planet Project », on aurait dû l’appeler Technologie Bleue …
Sands Point, une des enclaves résidentielles les plus riches au monde, est environ à une heure et demie de voiture de Montauk. Mais il ne faut que la moitié du temps pour atteindre la zone de la classe laborieuse d’East Islip où Grumman et Fairchild, les fournisseurs de la Défense qui ont produit le prototype « Have Blue » des avions furtifs, partageaient jadis un même bâtiment. Au cours des années quatre-vingt, il était situé juste de l’autre côté de Sunrise Highway en venant de Heckscher State Park. La zone entourant ce bâtiment est le lieu où se déroule en réalité l’essentiel du récit de Nichols …
Si les scientifiques allemands ont eu un capitaine d’équipe, c’était certainement Manfred von Ardenne, un aristocrate de haute descendance et à l’intellect du plus haut niveau imaginable. Il a déposé son premier brevet en 1923 à l’âge de quinze ans. Il s’agissait de celui d’un tube électronique ayant des applications dans la télégraphie sans fil avec trois systèmes dans un même tube. En 1928, von Ardenne, qui était un véritable Bruce Wayne (Batman), avait financé et construit son propre laboratoire souterrain sous Berlin-Lichterfelde.
La grotte de chauve-souris de von Ardenne fut équipée d’un générateur électrostatique de deux millions de volt et d’un cyclotron*. A cette époque, il n’existait qu’un seul autre cyclotron dans toute l’Europe, celui des Curie qui était financé par toute l’église universelle de pseudoscience d’Albert Einstein …
*Accélérateur de particules inventé par Ernest Orlando Lawrence et Milton début des années 30
Von Ardenne’s lab, properly dubbed Forschungslaboratorium für Elektronenphysik, specialized in nuclear physics and high frequency technology.
Le laboratoire de von Ardenne, adéquatement nommé Forschungslaboratorium für Elektronenphysik (Laboratoire de recherche pour la physique électronique), était spécialisé en physique nucléaire et technologie des hautes fréquences.
Manfred von Ardenne – Microscope électronique
C’était l’endroit idéal pour la plupart des scientifiques de l’élite de l’Allemagne et de ce qui constituait, avant la Première Guerre Mondiale, l’Empire Austro-Hongrois. Après la prise du pouvoir par le National-Socialisme, c’était un repaire pour les plus hauts-gradés du mouvement, des hommes comme Hitler, Bormann et le collecteur de fonds responsable de l’incroyable richesse de l’Allemagne à la fin de la guerre, Karl Ohnesorge. Il était le Président du Bureau Central de la Reichspost, le service central des postes allemandes.
Ohnesorge était peut-être le confident le plus ancien et le plus proche d’Hitler après Fritz Todt, le Ministre de l’Armement qui contrôlait l’Organisation Todt, la Société Nationale de Construction de l’Allemagne. Todt est mort dans un accident d’avion à la suite d’une réunion de crise privée avec Hitler au début de l’année quarante-deux.
Ohnesorge n’était pas seulement responsable de la distribution du courrier et du budget secret du National-Socialisme, mais chargé de contrôler la future distribution de tous les postes de télévision du Troisième Reich. Il portait un intérêt constant à la propagande du parti par la technologie sans fil. Après la guerre, il a été poursuivi mais les accusations ont été brusquement abandonnées sans explication. Ohnesorge, le deuxième homme le plus important en Allemagne après Hitler, a tout simplement disparu, en s’évaporant dans le paysage d’après-guerre comme un fantôme …
Au moment où les Allemands accueillaient les Jeux Olympipques d’été en 1936, von Ardenne avait déjà inventé la télévision afin que le reste de l’Europe, qui se remettait à grand peine de la Grande Dépression, puisse témoigner de la résurrection triomphante de l’Allemagne sous l’égide du National-Socialisme. Von Ardenne est crédité de l’invention du Microscope à balayage électronique en 1937 et son travail a été crucial pour le développement du Microscope électronique par Ernst Ruska au début des années trente. Au cours de sa longue et illustre carrière, il a été détenteur de près de six cents brevets concernant la microscopie électronique, la technologie médicale, la technologie nucléaire, la physique du plasma, et la technologie de la radio et de la télévision.
Après la guerre, von Ardenne s’est détourné de l’Occident, en rejoignant l’Union Soviétique en compagnie de trois cents autres scientifiques allemands, y compris le Prix Nobel de 1925 et compagnon de l’aristocratie Gustav Hertz, le neveu de Heinrich Hertz.
Agnesa Arsenjewa était rentrée en Union Soviétique immédiatement après qu’elle et Heil aient publié leurs travaux. Elle n’est jamais retournée en Occident, passant le reste de sa vie à travailler en secret à l’Institut Physico-Chimique de Leningrad, d’où elle était partie avec Heil en 1935. Il l’avait accompagnée là-bas, et ils avaient brièvement travaillé ensemble jusqu’à ce qu’il retourne en Angleterre, où il est resté jusqu’à la déclaration de guerre, après quoi il est rentré en Allemagne par la Suisse.
En 1953, von Ardenne s’est vu décerner le Prix Staline, de première classe, pour sa contribution au projet de bombe nucléaire soviétique, entre autres … Par la suite il est allé en Allemagne de l’Est, où il a vécu jusqu’en 1997, bénéficiant de la gratitude et du rouble  Russe pour en avoir fait l’autre superpuissance de la planète.
La vérité, c’est que von Neumann était fanatiquement dévoué au National-Socialisme et l’avait été durant toute sa vie d’adulte. C’était un Nazi. C’était un tel secret de polichinelle que Stanley Kubrick, l’artiste-maison de la CIA, s’en est amusé dans le Docteur Folamour. Il avait été formé et importé d’Allemagne par la Fondation Rockefeller quatre ans avant que les Nationaux-Socialistes y prennent le pouvoir.
La Fondation Rockefeller était liée comme des frères siamois à I.G. Farben, Brown Brothers Harriman et tout le reste des parasites qui s’accrochaient à Hitler pendant son ascension au trône de l’Empire Allemand – les mêmes parasites qui allaient l’obliger à se débarrasser de Gottfried Feder et de l’essentiel du rêve du National-Socialisme. Tout comme von Ardenne s’était protégé en allant en Union Soviétique, personne n’avait d’emprise sur von Neumann. C’était un puriste. L’argent ne signifiait rien pour lui, à part posséder une grande maison pour faire la fête avec ses amis.
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Dennis Gabor
On pourrait probablement dire la même chose à propos d’un autre « Nazi » Juif, Dennis Gabor, qui a reçu le Prix Nobel en 1971 pour avoir inventé les mathématiques qui ont rendu possible l’holographe. Tout comme von Neuman, Gabor était un Juif d’une famille aristocratique hongroise. Ses acquis culturels, son domaine d’expertise et même ses intérêts personnels de l’existence indiquent plus qu’une accointance passagère avec von Neumann.
Ils indiquent le genre de collaboration ultrasecrète que l’essaim de forces de sécurité qui entouraient tout ce que touchait von Neumann était là pour dissimuler.
Gabor a manifesté toute sa vie un intérêt pour les machines autoreproductrices. Sa conférence cruciale de 1959 sur les « Inventions électroniques et leur impact sur la civilisation » a inspiré le chapitre supplémentaire dans l’édition de 1961 de la Cybernétique de Norbert Wiener, qui est maintenant considérée comme la Genèse du Transhumanisme.
Wiener avait déjà écrit le reste du livre et les règles qui l’accompagnent, The Human Use of Human Beings (L’utilisation humaine des êtres humains) une décennie auparavant, juste après que von Neumann ait, en quarante-neuf, dessiné avec un crayon et du papier millimétré, le concept d’un ordinateur autoreproducteur. L’analyse mathématique rigoureuse de von Neumann sur la structure de l’autoreproduction anticipait avec une précision surprenante la structure de l’ADN, découverte quelques années plus tard.
En 1950, l’empire Anglo-américain allait inaugurer le prochain quart de siècle de son expérimentation intensive avec l’épissage des gènes par bactéries sur ses propres citoyens, lorsque la Marine des Etats-Unis a lancé en secret l’Opération « Sea Spray » au large des côtes de San Francisco.
Sous le prétexte de la Sécurité Nationale, la marine a délibérément infecté non seulement tout San Francisco, mais également Albany, Berkeley, Daly City, Colma, Oakland, San Leandro et Sausalito, environ huit cents mille résidents. Beaucoup d’entre eux comptaient parmi les personnes les plus importantes dans une industrie de la défense occidentale en plein essor.
Chacun a inhalé des millions de bactéries productrices d’endonucléases dont la mutation à l’aide de rayonnements de neutrons avait été provoquée au cours de la guerre par le fanatique génie nazi, le Dr. Kurt Blome, qui travaillait alors pour l’empire Anglo-Américain.
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Gérer le Troupeau
Dans son livre de 1963, Inventing the Future, Gabor a énuméré selon son estimation, les trois menaces principales qui guettaient la société moderne : la guerre, la surpopulation et l’ère des loisirs. C’est à partir de ce livre que les futurologues ont élaboré la phrase : « la meilleure manière de prédire l’avenir et de l’inventer ». En 1972, vers la fin de sa vie, il a publié The Mature Society : une vision du futur sur la société et a rejoint le Club de Rome, supervisant un groupe de travail étudiant les sources d’énergie et le changement technologique.
Although in his seventies and spending most of his time in Rome, Gabor became a Staff Scientist at CBS Laboratories, in Stamford, Connecticut where, collaborating with his lifelong friend, CBS Labs’ president Dr. Peter C. Goldmark, they put to practical application the German electromagnetic science Karl Ohnesorge had intended to use to propagate National Socialism throughout all the occupied territories. It was in the seventies and television became the tool of choice to build the West’s ever expanding Zombie Empire…
Bien qu’il ait plus de soixante-dix ans, et qu’il passait la plupart de son temps à Rome, Gabor est devenu membre du Conseil Scientifique des Laboratoires CBS, à Stamford, Connecticut, où, en collaboration avec son ami de toujours, le président des Laboratoires de CBS, le Dr. Peter C. Goldmark, ils ont mis en pratique la science électromagnétique allemande que Karl Ohnesorge avait projeté d’utiliser pour diffuser le National-Socialisme dans les territoires occupés. C’était dans les années soixante-dix et la télévision est devenue l’instrument idéal pour bâtir l’Empire Zombie en perpétuelle expansion de l’Occident …
Gabor avait trois ans de plus que von Neumann et avait combattu vaillamment aux côtés de l’Empire Austro-Hongrois au cours de la Première Guerre Mondiale. Après la guerre il avait terminé ses études à l’Université Technique de Charlottenburg à Berlin, qui est maintenant devenue l’Université Technique de Berlin. Il a rédigé en 1927 sa thèse sur l’Enregistrement d’états transitoires dans les Circuits électriques à l’aide de l’Oscillographe à Rayons cathodiques. Il avait analysé les propriétés de lignes de transmission électriques à haute tension, ce qui l’avait sans nul doute familiarisé avec les travaux de Schumann.
Gabor a ensuite travaillé à Berlin avec des microscopes électroniques. Les lampes à plasma et, les tubes cathodiques de télévision l’auront certainement amené dans la grotte à chauve-souris de von Ardenne avant qu’en 1933 il n’aille en Angleterre. Les universitaires étaient, au mieux abusés et au pire menteurs comme tel un arracheur de dents, ont prétend que Gabor « fuyait les Nazis ». Le séjour de Heil en Angleterre deux ans plus tard, jusqu’à la déclaration de guerre, à la suite de son invention du tube à modulation de vitesse en trente-cinq, ne peut pas être expliqué aussi simplement.
Heil était un autre Nordique de sang bleu. Comme tout le reste de ce qui est inexplicable dans le récit des universitaires sur les savants nazis, cela a été ignoré. Von Neumann se serait moqué de toute idée de ce genre ; en fait il adorait torturer Einstein en passant à plein tube des marches prussiennes sur son gramophone lorsqu’ils avaient des bureaux contigus à Yale au début des années trente.
En faisant largement appel aux mathématiques de von Neumann et au grand mathématicien allemand David Hilbert, qui était le professeur de von Neumann et l’architecte de l’Espace de Hilbert, Gabor a commencé à publier des documents scientifiques sur la production d’images à partir de signaux de fréquence dès la fin de la guerre. En 1951, il avait développé les mathématiques qui allaient faire évoluer l’analyse de Fourier en fenêtres de Fourier et en ondelettes transformées en utilisant les atomes et ondelettes de Gabor – une oscillation semblable à une onde d’une amplitude qui commence à zéro, augmente et retourne à zéro. Les ondelettes remplacent les soi-disant atomes des universitaires classiques par de la véritable science requise pour changer le canal de réalité dans la Technologie Furtive.
Il n’y a guère de doute que le Dr. Heinz Schlicke et l’Office of Naval Research de Sands Point travaillaient en étroite collaboration avec la Commission à l’Energie Atomique (AEC). L’AEC était dirigée en sous-main par von Neumann pratiquement depuis sa conception après la guerre. En 1955, il est devenu membre de la commission et l’a dirigée officiellement jusqu’à sa mort prématurée en cinquante-sept. En juillet quarante-cinq, le Dr. Schlicke « capturé » donnait une conférence au Département de la Marine. Il était accompagné par un mystérieux M. Alvarez, qui était son agent traitant, et filtrait les questions.
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Luis Alvarez, 1954
Lors de précédentes communications déclassifiées, M. Alvarez était mentionné sous le qualificatif de Commodore Alvarez. Le grade de Commodore n’existe que chez les Garde-Côtes. Les archives militaires indiquent que personne de ce nom ne servait dans les forces armées à cette époque. L’homme ne pouvait être que le jeune Dr. Luis Alvarez, peut-être le scientifique local le plus talentueux d’Amérique à cette époque.
Il travaillait fiévreusement sur les problèmes que posait la méthode d’implosion de von Neumann pour faire exploser le plutonium. Le Dr. Alvarez se verrait attribuer l’invention de dernière minute des amorces à infrarouge apportées par le Dr. Schlicke et allait commencer une longue et illustre carrière en tant que l’un des scientifiques les plus glorifiés d’Amérique.
En 1968, la même année où on lui a attribué le Prix Nobel, Alvarez a dirigé une équipe multinationale de quatorze scientifiques pour analyser la pyramide centrale de Gizeh en utilisant des appareils de détection de rayons cosmiques financés par l’AEC et développés par le Laboratoire National de Lawrence-Berkeley. L’AEC a non seulement fait construire spécialement des appareils, mais a financé la plupart de l’expédition. Seul un des scientifiques était un archéologue.
Alvarez a toujours soutenu qu’il avait procédé à plus d’un million d’enregistrements de données et n’avait rien trouvé ; mais dans un entretien au Times de Londres, le Dr. Amr El Goneid de l’Université Ain Sham a laissé entendre que la pyramide était remplie d’une mystérieuse énergie qui « défiait toutes les lois connues de la physique ».
Alvarez, qui était connu pour avoir falsifié le Film de Zapruder (film montrant l’assassinat de Kennedy) et pour sa Théorie de la Météorite qui a tué les Dinosaures, a accusé le Times d’avoir inventé toute l’histoire …
Seule l’AEC avait été témoin de la citadelle en hypogée que Franz Xaver Dorsch avait construit pour Hitler sous Ohrdruf. Dorsch était le successeur de Todt après qu’Albert Speer se soit avéré incapable de construire les DUMB (bases souterraines militaires à grande profondeur). Dorsch, tout comme Todt et Ohnesorge étaient des membres du parti depuis l’origine. Malgré qu’il ait utilisé de la main-d’œuvre esclave, il s’en est tiré sans une égratignure à la fin de la guerre où il a fondé le géant de la construction allemande, le Groupe Dorsch.
Au lendemain de la guerre, l’activité s’est  réduite, l’AEC a étudié la ville souterraine qui a été ultérieurement transformée en métaphore dans les Chroniques d’Akakor.
Après une inspection, l’AEC a fait enlever l’équipement technique qui est resté dissimulé jusqu’à nos jours et a fait sauter les entrées, classant secrets tous les documents relatifs aux sous-sols d’Ohrdruf pour une durée de cent ans.
Au printemps quarante-sept, le département de la guerre a attribué à l’AEC le Camp d’Upton à Broohaven, Long Island, et c’est là qu’ils ont mis en œuvre ce qu’ils avaient appris en Allemagne. De Sands Point, le Laboratoire de Brookhaven n’est qu’à quarante minutes de voiture à l’est sur le Long Island Expressway. Il occupe une situation centrale, à peu près à la même distance à l’ouest par le Sunrise Highway de Montauk Point.
Brookhaven * Laboratoire National
Citations
Bibliographie
1 – Peter Byrne (2010). The Many Worlds of Hugh Everett III: Multiple Universes, Mutual Assured Destruction, and the Meltdown of a Nuclear Family. Oxford University Press. p. 29.
2 – Deutsch, David. “The Beginning of infinity,” page 310.
3 – Ibid.
4 – “Karl Pribram ‘Holographic Brain’ New Dimensions 1:12:52.” Youtube. Insightfreeman, 5 Dec. 2012. Web. 15 Aug. 2016.

5-  Vidéo Interstellar !
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Veterans’ Today - ©                                     Traduction française  Patrick T revu Isabelle

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